Historique

À nos jours

2017

La SOCOLOPO reste SOCIETE COOPERATIVE DE LOGEMENTS POPULAIRES mais devient SEDES : un nouveau nom commercial, une nouvelle histoire, de nouveaux projets, des constructions de logements à Energie Positive et à Bas Carbone, un ambitieux programme de rénovation urbaine en « CITE VERTE », une métamorphose des cours urbaines en « COURDIVERSITE », la création d’un journal coopératif « SEDES & CO » …

100 ans

2000

Depuis, la SOCOLOPO a inauguré le nouveau siècle, à Strasbourg et sur le territoire de la Communauté urbaine de Strasbourg, avec des habitations à la pointe du progrès : économies d’énergie (apport de l’énergie solaire) et qualité de vie (conciergerie, parkings, télévision câblée…).

Forêt Noire II

1956

En raison de la crise du logement consécutive au second conflit mondial, 95 nouveaux appartements sortent de terre sur cette belle avenue, tandis qu’est mise en route l’extension de la cité-jardin du Stockfeld.

Forêt Noire I

1931

Après une interruption due aux conséquences financières de la guerre de 14-18, la construction reprend avec ce vaste ensemble situé dans le quartier Vauban, doté de commerces et d’équipements sociaux. Le décor surmontant ses portes est d’inspiration Art déco.

La Cité-Jardin du Stockfeld

1910

C’est au très talentueux architecte alsacien, Edouard Schimpf, que la SOCOLOPO confie le projet de cité-jardin dans le faubourg du Stockfeld. Il s’agissait de proposer une solution pour les délogés de la « Grande Percée », opération de démolition d’immeubles insalubres du centre-ville commencée en 1910. De style alsacien, toutes les maisons sont dotées d’un jardin, ce qui permet de cultiver son potager et de créer du lien social. Le confort est remarquable pour l’époque. Cette réalisation exemplaire est inscrite depuis 1996 à l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques.

Fondation de la Coopérative et premières réalisations

1900

Un groupe de philanthropes soutenu par la Municipalité fonde la Société Coopérative de Logements Populaires de Strasbourg dans le but de «procurer à des personnes peu fortunées des logements salubres et à bon marché». La construction de la Cité Spach (1903) et, boulevard de Lyon, du «Katholischer Bahnhof » (1908) montre que, dès le départ, la coopérative s’emploie aussi à promouvoir la qualité architecturale de ses immeubles.